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Iguazù J+186/187/188

  • Barbara & Thomas
  • 7 avr. 2017
  • 5 min de lecture

Et voilà, il faut déjà boucler les valises car le vol pour Iguazù c’est cet après-midi. On profite de notre dernière matinée pour faire un dernier petit tour du centre-ville ensoleillé cette fois. Une fois à l’aéroport tout se passe bien jusqu’au portique de sécurité. Le sac de Marie, la maman de Thomas, est inspecté et on y retrouve un couteau suisse… La responsable de sécurité nous propose de retourner à l’enregistrement des bagages en soute pour remettre le couteau dans l’une de nos valises. Ouf le couteau est sauvé, ce qui n’avait pas été le cas de celui d’Aurélien en Equateur (dédicace à toi Biboo). Le vol se passe sans encombre et on arrive à bon port Puerto Iguazù ! Le seul hic c’est qu’au moment de récupérer les bagages le mien manque à l’appel… Il est resté à Salta ! Après avoir mis le couteau dedans, il n’avait pas été remis dans la soute. On se rend à l’hôtel sous une pluie diluvienne avec la promesse que mon sac me serait rendu le soir même ou le lendemain au plus tard. On dine dans un restaurant de pâtes fraiches délicieuses mais un peu trop copieuses. Une fois de retour à l’hôtel, on est venu me ramener mon sac avec le couteau suisse. Finalement tout se termine pour le mieux.

Ce jeudi c’est sous un grand soleil que l’on se réveille et c’est tant mieux parce qu’aujourd’hui on visite le parc d’Iguazù et ses chutes célébrissimes. On se rend au terminal de bus mais une fois là-bas on apprend la nouvelle du jour : GREVE NATIONALE ! Ce qui signifie qu’aujourd’hui il n’y a aucun bus qui se rend au parc et qu’apparemment il y a un barrage sur la route à 5 km de la ville qui empêche les taxis de rejoindre l’entrée du parc. On décide tout de même de tenter notre chance à 5 dans un taxi 4 places et il n’y a aucun barrage ! On arrive sans encombre au parc et on est ravi de pouvoir le visiter. On prend le petit train qui nous mène jusqu’aux premières passerelles. Après un petit kilomètre de marche on atteint le premier point de vue et on en a presque le souffle coupé. C’est MA-GNI-FIQUE ! La grandeur de ces chutes nous saute aux yeux et le débit d’eau est juste hallucinant. On prend une petite pause déjeuner pour nous remettre de nos émotions en compagnie des coaties qui font le spectacle. Ces ratons laveurs sont de véritables chapardeurs. Ils profitent que les visiteurs aient un peu le nez en l’air pour venir chiper les victuailles laissés sur la table. Parfois à la limite de l’agressivité, il faut faire attention de ne pas se faire griffer ou mordre. L’après-midi, on continue notre petit tour par des points de vue tous plus impressionnants les uns que les autres. On prend même un petit bateau pour se rendre sur l’ile qui fait face aux chutes. Les embruns nous rafraichissent et cela fait du bien car le soleil qui brille depuis le début de la journée nous apporte une chaleur étouffante. On termine la journée par un autre circuit de points de vue malgré des jambes un peu lourdes après les 12 km de la journée. On rentre prendre une bonne douche pour ensuite diner dans un restaurant plein de promesses mais qui c’est finalement avéré décevant avec sa parilla contenant trop d’abats et son tiramisu congelé… Cela ne ternira pas cette fabuleuse journée.


Le lendemain, nous nous levons un peu tard mais la bonne nuit nous a fait du bien, d’autant plus qu’aujourd’hui c’est un petit programme. Nous nous promenons dans le centre-ville et poussons notre balade jusqu’à l’extrémité de la ville où se situe un point de vue sur la triple frontière. En effet, le fleuve sépare l’Argentine, le Brésil et le Paraguay. Après la frontière chilienne et bolivienne que nous avons suivie tout le long de notre road trip, nous avons l’impression de faire le tour des bordures du pays ! On fait encore quelques emplettes avant de rentrer à l’hôtel. On boucle les valises et nous voilà repartis à l’aéroport pour une nouvelle destination : Buenos Aires.


We must already pack the suitcases because the flight for Iguazu is this afternoon. We took advantage of our last morning to do a last round of sunny downtown tour. Once at the airport everything goes well until the security check. The hand luggage of Marie, Thomas's mom, is inspected and the security found a Swiss army knife ... The security official proposes us to return to the checked-in counter and put the knife in one of our suitcases. Idid it and the knife is saved. Aurélien in Equador did not had this chance since his Swiss knife end in the garbage (dedication to you Biboo). The flight goes smoothly and we arrive at Puerto Iguazù! The only problem is that at the time of retrieving the luggage mine misses the call ... It is still in Salta! After putting the knife in, the crew has not put it back in the plane. We went to the hotel under a heavy rain with the promise that my bag would be returned to me the same evening or the next day at the latest. We dine in a restaurant of delicious fresh pasta but a little bit too copious. Once back at the hotel, they brought me my bag back with the Swiss knife inside. Everything ends well.


This Thursday it is under a great sun that we wake up and it is a perfect timing because today we visit the park of Iguazú and its famous falls. We go to the bus terminal but once there we learn the news of the day: NATIONAL STRIKE! This means that today there are no buses going to the park and apparently there is a dam on the road at 5 km from the town which prevents vehicles from reaching the park entrance. We still decide to try at 5 in a 4 seat taxi and there is no dam! We arrive safely in the park and we are delighted to be able to visit it. We take the little train that brings us to the first footbridges. After a short walk we reach the first point of view which is breathe taking. That's wonderful! The size of these falls is ridiculous and the flow of water is just crazy. We take a little lunch break to recover from our emotions in the company of the coaties who make the show. These raccoons are real pilferers. They take advantage of the visitors’ inattention to come and steal the food on the table. Sometimes at the limit of aggressiveness, we must be careful not to be scratched or biting. In the afternoon, we continue our little tour by points of view all more impressive than the others. We even take a small boat to go to the island that faces the falls. The spray refreshes us and it feels good because the sun that shines since the beginning of the day brings us a stifling heat. We finish the day with another circuit of points of view despite legs a little heavy after 12 km of walk. We go back to the hostel to take a refreshing shower and then dinner in a restaurant full of promises which is finally disappointing with his parilla containing too much offal and his frozen tiramisu ... This will not tarnish this fabulous day.


The next day, we get up a little late but the good night was a real relief even if today the program is quite short. We walk in the city center until the end of the city where we have a great view of the triple border. Indeed, the river separates Argentina, Brazil and Paraguay. After the Chilean and Bolivian border that we have followed along our road trip, we have the impression of going around the borders of the country! We do some shopping before heading back to the hotel. We packed the suitcases and left for the airport for a new destination: Buenos Aires.



 
 
 

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great things never came from comfort zones

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